Les Gardiens du Dessein
Illustration de Benjamin Carré
Il avait suffi d’une voix pour que tout bascule. Une voix pour que les espoirs de Larry Herdson d’accéder à la Chancellerie se brisent. Et quand son concurrent David Paldor tombe le masque, Larry n’a d’autre choix que de s’enfuir. Mais David Paldor n’est pas le seul à avoir plusieurs visages : dans les tréfonds d’une planète gelée, une civilisation pas si disparue, gardienne d’un obscur dessein, pense tirer les ficelles.
Dans cette pièce de théâtre galactique où les traqueurs sont aussi les traqués, Larry deviendra-t-il à son tour le pion dissident ?
Revue de presse
D’une élection loupée de peu à la découverte d’une société secrète, le destin de Larry va être bouleversé ainsi que ses convictions. Ce premier roman de l’auteur est une vraie réussite, nous plongeant dans une intrigue solide avec des personnages charismatiques avec de réelles surprises. A découvrir d’urgence !
Accrochez vos ceintures. Le roman que vous vous apprêtez à lire va vous emmener loin, dans une galaxie lointaine, très lointaine… Au programme : batailles spatiales, pirates de l’espace, gouvernement galactique en danger et mystérieux extraterrestres ! Vous l’aurez compris, ce roman aux multiples rebondissements est digne d’une série de SF à l’ancienne.
En plongeant dans ces pages une chose est devenue certaine très rapidement : Florestan De Moor est un écrivain talentueux qui possède une plume fluide et addictive ainsi qu’une imagination débordante.
Dans l’ensemble, ce roman tourne bien. Les scènes s’enchainent avec un certain naturel et les moments de réflexion ne ralentissent pas trop l’action. Les pages se tournent vite et bien. Florestan De Moor sait mettre en place ses pions rapidement, sans trop s’appesantir sur la description de ses mondes. Cela vient progressivement, de façon assez douce, sans lasser.
J’ai vraiment passé un excellent moment avec ce roman : une histoire avec beaucoup d’action, sans temps mort. Un univers riche, bien exploité. Des personnages bien construits, l’auteur prend vraiment le temps de nous les rendre crédibles.
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